Hier soir, des milliers d'étincelles, d'étoiles étaient visible dans le ciel joliettain pour les célébrations de la 181e Fête nationale du Québec. L'an dernier, les Cowboys Fringants avaient attiré plus de 25 000 fidèles et cette année, c'était au tour de la Bottine Souriante de venir faire la fête. La dernière fois que le groupe était venu jouer dans sa cour, c'était en 2005 à l'occasion du Festival Mémoire et Racines. Plusieurs changements ont été produit depuis. Et pour l'occasion, la formation traditionnelle a invité sur scène, avec eux, un sage parmi les sages, un des membres fondateurs des premières heures. Un certain André Marchand. On pouvait donc s'attendre à des grands classiques. Il y a eu, bien entendu, la ziguezon, mais également 2033, La Confession d'un moribond et La Chanson de la langue française pour ne nommer que celles-ci. Et comme on peut s'y attendre, le bonheur était dans place et contagieux. La première partie était l'affaire de Fred Beauséjour, accompagné de Christian Marc Gendron au piano, Toyo à la guitare et Manon Séguin à la voix. D'excellentes interprétations de classiques de la chanson québécoise ont été jouée. J'ai été heureux de la première partie, parce que parfois ça laisse à désirer, mais là c'était du solide. Pour terminer, le discours patriotique fut prononcé par Frédéric Bélanger. Ce fut une agréable première soirée de la fête nationale. Il y a eu des orages, en après-midi, et se ciel s'est éclairci par la suite. C'était une soirée quasi parfaite, puisque la perfection n'est pas de ce monde. C'était ça pour Joliette. Ce soir, je monte dans la grand'ville, plus précisément dans le Quartier Latin, pour y voir Raoul Duguay et Passe-Moé la Puck. Je crois que je vais avoir bien du plaisir! Sur ce, bonne St-Jean à tous! |
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