V'là une couple de semaine, je m'étais garoché dans la Montréal profonde pour aller voir Véronique Bilodeau à la finale régionale de Cégeps en Spectacle. À ce moment là, elle m'avait dit qu'elle se produisait à Beloeil deux ou trois semaines plus tard. Je lui ai promis que j'allais y être. Bon que j'allais essayer d'y être. Il faut dire que je suis quand même en demande... ah pis c'est tellement pas vrai. J'étais pas pour manquer un show complet de Véronique avec plein de nouvelles œuvres. Je quittâmes la maison vers les 13 heures pour aller au cinéma. Je sais que dans l'histoire, ça aucun rapport direct, mais c'est pour vous dire que j'ai été voir Le plus beau des chemins. Si vous avez aimé Les pages de notre amour, vous risquez d'aimer. J'ai bien aimé les scènes de rodéo. En tout cas, je sors du cinéma et me dirige directement vers Beloeil. Il est 16 heures. Je suis arrivé sur place vers 17 h 45. 45 minutes de bouchons de circulation si je me fis à la durée de mon retour qui fut d'une heure environ. Le trafic montréalais, une vraie plaie. Peut-être pas à la dynamite, mais plus avec des Pétards. J'ai pas grand chose à dire sur ce match, à part qu'il y a du gros potentiel pour de nouveaux joueurs à la LIA l'an prochain. Une chance qu'il n'y avait pas d'enfants, parce qu'au nombre de mots irrévérencieux qui s'est dit, ces enfants auraient été traumatisés.
Dimanche dernier, ça paraissait que nous étions à Pâques. La foule était survoltée pour ce BYE de finale et le début des séries de fin de saison. Les gens ont du manger un peu trop de chocolat durant la journée. Moi, j'en ai pas mangé, mais j'étais aussi dedans que les autres. C'est peut-être à cause du fait que j'ai revu la Coupe d'Idée et qu'on s'est jasé un brin. Ça faisait quand même trois ans qu'on s'était pas vu. Il est toujours aussi comique! Bref, les jaunes l'ont emporté et se dirigent directement en finale. Les rouges auront le droit de se reprendre, dans deux semaines, face au gagnant du match de dimanche prochain. C'est à dire, contre les Verts ou les Bleus. Ça promet en sale! P.-S.: Ne donnez plus jamais de flûtes à bec à Chalut. Mes oreilles saignent encore après 48 heures. Hier soir, à l'Albion de Joliette, c'était soir de duel à la Ligue Rock 4e édition. Tempête et Lubik s'affrontaient pour les grands honneurs, pendant que Oromocto Diamond s'occupait de réchauffer la foule et que Gazoline l'achevait! C'était du lourd, du grand rock solide. Bon, je m'y connais pas vraiment en rock, ça tout le monde le sait. Mais comme y'avait rien d'intéressant à télé, je veux dire pas de matchs du Canadien, j'ai décidé de contacter le Predz de la Ligue, en monsieur Sébastien Collin, pour lui demander si ça y tentait que j'aille prendre des photos. Prendre des photos de ce genre d'événement, c'est tellement défoulant.
Donc, voici les images de cette soirée des plus intenses, dont le duel fut remporté par Lubik, faisant du coup passer Tempête au grade de légende pour avoir participé aux quatre éditions de la Ligue Rock sans avoir emporté de victoires. C'est un peu gênant, n'est-ce pas? C'est pas parce qu'ils sont pas bons. Ils achètent juste pas les bonnes personnes selon moi. Bon dimanche à tous! Hier après-midi, je suis monté, avec mon bon chum Éric Labelle, à Victoriaville où il faisait un petit spectacle au Café Farniente. Belle place, mais ils devraient se grailler de deux ou trois lampes pour les shows. En tout cas, j'avais mon flash et j'ai pu me débrouiller sans spots. En tout cas, si vous passez par là, je vous suggère de goûter au gâteau mousse au chocolat et fromage. C'était exquis.
Pour ce qui est du spectacle, je l'ai trouvé inégal. Pour la deuxième partie, Eric fut égal à lui-même, tel que je le connais. Sincère, drôle et plaisant à écouter. Son charisme prend de la place. C'est contagieux et, comme à Matane, la foule embarque dans son trip. Là où le bas blesse, c'était la première partie. Une première partie, beaucoup trop longue. Si on enlève cette première partie, j'ai eu bien du plaisir. Surtout après le spectacle, quand j'ai eu l'idée folle d'aller faire un shooting improvisé, avec Éric, en plein milieu de la rue, et où un véhicule a failli écrasé ce dernier. Nonobstant, ce quasi accident, la photo est plutôt épique. Hier, j'étais supposé aller à la manif nationale à Montréal. J'ai pas trouvé de place de stationnement à Radisson, ça me tentais pas de chercher pendant trois heures, donc j'ai décidé d'aller dans le Vieux-Terrebonne profiter de cette belle journée de printemps. Pour prendre l'autoroute à partir de Terrebonne, c'est un méchant détour.
L'épisode final de la série vient tout juste de se conclure. Je sais pas pour vous, mais j'en prendrais encore. Et dire que je n'étais pas prédisposé à écouter cette série. C'est seulement à la suite du premier épisode de la deuxième saison que je me suis décidé à l'écouter rétroactivement. Mais surtout après avoir lu les commentaires sur Facebook, entourant le fameux plan-séquence, que j'ai décidé d'aller sur Tou.tv et de m'atteler à la tâche. Merci à Podz, aux scénaristes et à toute l'équipe d'avoir osé. Merci d'avoir osé faire une oeuvre en dehors des sentiers battus de notre chère télévision québécoise. Parce que c'est pas tout le monde qui peut avoir les reins assez solide pour tenir tête à des idées qui ont menées à cette saison déterminante Ô combien hardcore, sanglante et lugubre. On ne se le cachera pas, j'ai rarement vu de scènes aussi dure à la télévision. 19-2 fut, est et sera une série phare de la télé québécoise. Malheureusement, nous n'aurons plus accès à des œuvres aussi fortes si les différents paliers de gouvernement continuent à couper dans l'aide aux subventions. Le peuple québécois est un peuple créatif. Donnons-nous les moyens de prospérer. Merci et... faites attention à vous autres. |
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